Tag: histoire de rue
Strasbourg : le spleen du confiné
Ça n’arrête pas. J’ai beau zapper frénétiquement d’une chaîne à l’autre à longueur de journée, les dents blanches au brushing parfait nous...
Strasbourg : Les hôtesses de cœur
Devant le supermarché, une file indienne s’organise avec la rigueur militaire d’un camp de vacances. Un mètre entre chaque chariot et un...
Strasbourg : À bientôt mes enfants
Ce matin, je me suis réveillée au premier rayon du soleil comme je le fais depuis plus de mille ans et pourtant...
Strasbourg : Journal d’un confiné
Après avoir perdu six fois au Monopoly en trois jours, je suis un peu tendu, c’est vrai. Impossible d’acheter cette saloperie de...
Strasbourg : le blues des blouses blanches
Pour beaucoup d’entre nous, vous n’êtes que des blouses blanches, roses, bleues ou vertes, en perpétuel mouvement tels des arcs-en-ciel dans des...
Strasbourg : STRAS WARS
Photo de couverture : bruit silencieux
Le virus couronné d'or s'impose dans les corps des...
Strasbourg : Au bonheur des larmes
Strasbourg City. 1ER MARS 2020.
Gotham sent le géranium Batman traîne en peignoir au milieu du parking désert...
Strasbourg : le Krisprolls de la mort
Le sèche-cheveux cesse de hurler après un solo de plusieurs minutes. Il y a encore de la buée sur la vitre de...
Strasbourg : La mouche et l’enfant sparadrap
Photo de couverture : Thomas Cytrynowicz et Simon Wohlfahrt
« Il y a...
Strasbourg : L’écume des corps
Elle a laissé la porte ouverte pour m'inviter à entrer dans une chambre anonyme d'un hôtel, Place de la gare. Je peux...
Strasbourg : L’odyssée d’une plume ridée
Elle danse en chaussettes sur le parquet froid, une cigarette en bouche, valsant avec son ombre.
Ce soir, seules...
Strasbourg : la plume de minuit
Chaque chose a une fin sauf la banane qui en a deux.
Mon ami médecin s’est fait contrôler par...
Strasbourg : la biscotte du dimanche soir
Avant, le dimanche, je faisais la grasse matinée jusqu'à dix heures. Mais ça c'était avant. La trentaine passée, je me lève lorsque...
Strasbourg : toujours.
J'aime tes chaises qui collent au petit matin, dans des bars qui sentent encore la sueur, la bière et le mouvement hypnotisant...