Tout au long de l’année, l’Eurométropole (EMS) propose à ses habitants et habitantes des ateliers de sensibilisation à la réduction des déchets. Gratuits, ils permettent également d’apprendre à fabriquer soi-même un certain nombre de produits utiles du quotidien. Petit tour d’horizon.
Si les termes « zéro gaspi » et « zéro déchet » sont de plus en plus utilisés, il n’est pas toujours facile d’adopter les bons gestes. Par où commencer quand on veut réduire ses déchets ? Quelles pratiques adopter ? Comment apprendre à faire soi-même certains produits du quotidien ?
Labellisé « Territoire zéro déchet, zéro gaspi » par le ministère de la Transition écologique et solidaire, l’Eurométropole organise de nombreux ateliers tout au long de l’année pour aider ses habitant(e)s à répondre à toutes ces questions.
Des ateliers proposés gratuitement
Deux types de rendez-vous sont proposés en faveur du zéro déchet :
- ceux qui permettent de fabriquer soi-même des produits cosmétiques, respectueux de la santé et de l’environnement. Mais aussi des couches lavables, des produits d’entretien, des pots à semis etc. Actuellement, il y en a cinq proposés ici.
- ceux relatif aux protections menstruelles. Dans les prochains jours, deux rendez-vous permettent d’être sensibilisé(e) à la question en repartant avec un kit de protections durables, et un atelier propose de réaliser soi-même ses culottes menstruelles, lors d’un cours de couture accessible même aux débutant(e)s.
Des rencontres pour lutter contre le gaspillage alimentaire sont aussi proposées, notamment à destination des 8-16 ans.
Les ateliers sont répartis un peu partout sur le territoire de l’Eurométropole, sont gratuits et ouverts aux habitants et habitantes sur inscription. La liste est à découvrir en cliquant ici. Pour le moment, en tout, 11 rendez-vous sont proposés et d’autres arrivent au fur et à mesure.
En 2023, ce sont 50 ateliers qui ont été organisés sur l’ensemble de l’EMS, pour plus de 500 participant(e)s.
Article soutenu mais non relu par l'Eurométropole de Strasbourg.
C’est que de la coterie que vous dites