Fermeture strasbourgeoise définitive pour Hubside.store, maintes et maintes fois soupçonnée de « pratiques commerciales trompeuses ». La marque a également été condamnée le 4 avril dernier par la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) à 525.000 € d’amende pour l’utilisation de données personnelles à des fins commerciales, sans le consentement des personnes concernées.
La fin d’une partie des arnaques à Strasbourg [ou tout du moins des « pratiques commerciales trompeuses », ndlr] ? Depuis plusieurs semaines et même mois pour celui du Rivetoile, les portes des différents Hubside.store strasbourgeois restent closes.
La marque spécialisée dans la réparation, le reconditionnement et la revente de produits électroniques a fermé discrètement ses enseignes, puisque le local situé 27 rue des Grandes-Arcades affiche toujours ouvert sur Google, même s’il est complètement vide lorsque l’on passe devant. De plus, un petit tour rapide sur le site internet ou leurs réseaux suffit pour se rendre compte que Hubside.store cesse son existence strasbourgeoise… et même tout court.
Une condamnation par la CNIL à 525.000 € d’amende
Si Hubside.store était bien connu des Strasbourgeois(es) depuis l’ouverture de sa première boutique en 2021, la marque l’était surtout pour de mauvaises raisons : des démarchages en pleine rue, que ce soit pour des produits électroniques gratuits ou pour recruter de nouveaux abonné(e)s via des listes de contact.
Au vu de l’absence de communication de la part d’Hubside.store quant à ces fermetures, difficile de se prononcer à 100% sur les raisons qui ont motivé ces choix. Néanmoins, on peut très fortement se douter que l’amende de 525.000 € prononcée par la CNIL contre la marque le 4 avril dernier a dû jouer.
La raison ? Avoir exploité des fichiers de courtiers de données à des fins de prospection téléphonique et par SMS, sans aucun encadrement ni vérification quant à la conformité des fichiers au regard du RGPD (Règlement général sur la protection des données). Ainsi, 3,2 millions d’appels ont été passés à 1,3 million de personnes, tandis que 1,4 millions de SMS ont été envoyés selon le média spécialisé NEXT.
Toujours selon NEXT, l’apparence trompeuse des formulaires de collecte ne permettait pas de recueillir un consentement valide des personnes concernées, tandis que pour les opérations de démarchage téléphonique, Hubside.store n’informaient pas suffisamment les personnes.
La fin de trois ans « d’arnaques », tromperies et d’électronique à Strasbourg.
ENFIN!!!! Il était temps
C’est toutalement vrai,moi aussi j’ai passé cette expérience et ils m’ont arnaqué de 25€ et j’ai demandé dix fois un remboursement mais c’était en vain .
Et attention!, touts les appareils qu’ils donnent sont faux c’est à dir ne fonctionne jamais .
Aujourd’hui je ne sais pas comment je peux récupérer mon argent.. Y a t’il une société dans le quel on peut déposer une plainte ??
Et bien j ai failli me rendre ds cette boutique j espère que les vendeurs ont était sanctionnés également pour escroquerie
Bon et bien heureusement que je n ai pas eu l idée de me rendre ds cette boutique merci pour l info
Je suis allé chercher des colis deux fois dans leur boutique de la rue des Grandes Arcades. Et laissez-moi vous dire, tout là-bas suintait l’escroquerie à plein nez. Leur façon de vous parler, comme si vous aviez une étiquette de prix collée sur le front, et de vous scruter avec insistance, c’était digne d’un mauvais film de série Z. Leurs fringues criardes, choisies pour piquer les yeux, et leurs coiffures, probablement conçues pour effrayer les pigeons, mais bizarrement, ça les attirait plutôt, les pigeons.
L’éclairage glauque, l’agencement chaotique, tout dans ce trou à rats criait à l’arnaque. Même les murs suintaient la fraude. Dès que vous mettiez un pied dans cette caverne à voleurs, vous étiez enveloppé par une ambiance de coquille vide dégoulinante de fausses promesses. C’était un véritable cirque de la tromperie, un hommage pathétique à l’escroquerie pure et simple. Un piège à wesh parfait. Ils feront faillite et recommenceront un autre business tout aussi pourri, où les pigeons des cités viendront se faire plumer. De toute façon, c’est soit ça, soit dealer de la coke. Étonnant que ce cirque ait tenu aussi longtemps.
Hé oui. C’était connu de tous. Il était temps que ça arrive, à Strasbourg comme ailleurs. Marre des ces arnaques !