Malgré les attentats, la Grande Braderie se fera.
À la suite des atrocités de Nice, de nombreuses questions se posaient sur les évènements à Strasbourg comme partout en France. La sécurité est-elle garantie ? Doit-on les annuler ? Si non, comment ces manifestations peuvent-elles être davantage sécurisées ?
D’innombrables questions qui ont bien fait courir les pouvoirs publics ces dernières semaines.
► Mais d’abord, la Grande Braderie de Strasbourg c’est quoi ?
☞ Si vous êtes citadin de l’hyper centre, c’est sûrement une des meilleures représentations de l’enfer sur Terre : Imaginez plus de monde dans les rues qu’en décembre, ajoutez-y la chaleur et enlevez le vin chaud et l’esprit de Noël. Le tout vous coinçant entre stands de musiques folklo germaniques, débits de merguez et vêtements à 5 € certifiés made in Italy. Bonheur. Joie. Allégresse.
☞ Si par contre vous vivez en dehors du centre ville, ça pourrait éventuellement être une sortie « qui change » pour un samedi. Si vous venez assez tôt, vous pourrez même peut-être apercevoir quelques célébrités à la carrière balbutiante chanter pour ce bel évènement pendant que vous ingurgiterez vos churros chèrement acquis. Un samedi bien chargé. Une belle journée en famille.
► Voilà, mon avis bien subjectif à tout de même un but, une finalité.
Pour rendre l’évènement possible, les mesures de sécurités on été bien bien bien renforcées. Vous vous souvenez du marché de Noël en mode Prison Break ? Et bien c’est le même dispositif, mais en mieux.
Pas de voitures au centre-ville, des policiers tout azimuts et des ponts coupés même aux piétons. Tu la sens la sécurité là ?! Elle est bien dure non ?
☞ Bref, si l’envie vous dis d’aller tâter du churros et zoner dans le millier de boutiques ouvertes ce samedi, pensez à ne pas venir en voiture, choisir le bon pont et vous tenir droit lorsque vous passerez devant les condés.
Pour toutes les infos, on vous laisse en de bonne compagnie avec un article complet de Rue89 Strasbourg.
Bisou et bon weekend ♥
J’ai le même bordel en bas de chez moi, je conchie ce truc du plus mauvais goût qu’il soit. Demain, je demande l’asile politique à la campagne alsacienne, avec pique-nique et rando. Qui m’aime me suive.
J’ai envie de dire : “Au secouuuuuurs”