Déjà capitale de Noël, d’année en année, Strasbourg rivalise de charme et d’audace pour devenir aussi celle de l’amour dans le cœur de ses habitants – qu’ils soient déjà pris ou à prendre. En presque dix Saint-Valentin, les trois mots « Strasbourg mon amour » se sont invités dans nos agendas et sur nos lèvres, comme un baiser. Pour 2022, le festival de l’amour fait son retour du 10 au 14 février, dans un format un peu différent : si l’iconique Magic Mirror (le chapiteau de la place Kléber, avec ses bals et ses spectacles glamour) restera malheureusement confiné cette année encore, les animations ne manqueront pas. L’attraction de cette édition ? Un gigantesque banc rose qui sillonnera la ville pour se faire photographier en amoureux (mais pas que), en attendant « le retour des jours heureux », et des étreintes sans contraintes.
« Les amoureux des bancs publics »
« Les roses sont rouges, les violettes sont bleues », et à Strasbourg, les bancs sont roses. Enfin, seulement celui de Strasbourg, mon amour qui, pendant quatre jours, s’arrêtera dans dix lieux emblématiques et romantiques de la ville. Par sa taille XXL et sa couleur inhabituelle, il surprendra les curieux, à la Petite France, au pied de la Cathédrale ou au détour d’une rue, où « Les amoureux des bancs publics » pourront se faire photographier. Un clin d’œil-hommage de cette édition du festival (créé en 2013), à la chanson du même nom de Georges Brassens. Et à chaque jour, son talentueux photographe, pour des « cartes postales digitales » par des artistes pros et locaux qui immortaliseront vos sourires et créeront de jolis souvenirs.
Jeudi 10 février, on retrouvera d’abord Vincent Muller (place de la Cathédrale et parvis du Tribunal) ; vendredi, ce sera le tour de Paola Guigou (places d’Austerlitz et Benjamin Zix). Samedi, Christoph de Barry investira les places Broglie et Kléber ; quant à Anne Milloux, elle s’installera le dimanche 13 sur le parvis de la Médiathèque Malraux et place du Château. Pour finir, les retardataires pourront courir auprès de Bartosch Salmanski, quai des Bateliers ou place Gutenberg, pour clôturer en beauté leur Saint-Valentin.
Les activités insolites
Outre le banc et ses séances photos itinérantes, Strasbourg, mon amour proposera une variété d’activités pour vous occuper et vous chouchouter… Des initiations au modelage, une marche conviviale suivie d’un pot de l’amitié, un don du sang et d’amour pour “faire battre les cœurs”, un concert, et même du cabaret. Celui de Nikita qui viendra « dans un imaginaire de plumes, strass, bas résille, [partager] en musique ses rêveries érotiques. Avec un jeu de mots d’amour, en interaction avec le public ». Autre partenaire de l’événement dont on vous parlait récemment : la boutique éphémère Love Sérénade du Local Hammer, pour ses animations ou pour y shopper quelques curiosités érotiques.
VintageMadbyM © Page Facebook de Local Hammer
Pour toujours un peu plus de romance, les plus poètes d’entre vous pourront suivre le programme « Ces Pages d’amour » : des lectures musicales de textes, des rencontres littéraires et même des cours d’écriture. Tandis que les plus curieux des amoureux pourront explorer la ville au travers de visites thématiques (autour des belles histoires d’amour de ses plus célèbres habitants, par exemple), ou s’aventurer dans une visite sensorielle, les yeux fermés, au Château Vodou.
Plutôt envie de prendre le large à deux ? Laissez-vous tenter par les Love Cruise de Captain Bretzel – des balades en bateau électrique le long de l’Ill, à booker en tête-à-tête ou avec son propre skipper. « L’équipage de Captain Bretzel [sera] aux petits soins pour les amoureux : plaids, crémant, boissons chaudes et bateaux spécialement décorés pour l’occasion ». L’endroit parfait pour se jeter à l’eau et déclarer sa flamme.
Décidément, en février, que l’on soit avec son lover, son partenaire ou encore célibataire : Strasbourg, on l’aime ou on la kiffe.
Strasbourg, mon amour
Du jeudi 10 au lundi 14 février 2022
Site du festival Strasbourg, mon amour
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Site de l’Office de Tourisme de Strasbourg et sa région
*Article soutenu mais non relu par la Ville de Strasbourg
