Après une interview exclusive avec nos journalistes, les principaux intéressés de l’interminable dossier du Zoo de l’Orangerie se sont finalement avoués « plutôt en bonne santé et pas plus mal qu’ailleurs ». Une réponse surprenante au vu des critiques faites depuis plusieurs années par les Strasbourgeois sur leurs conditions de vie.
Pour préciser davantage leur réponse à la question de notre équipe, ces derniers auraient instinctivement suivi par :
« Vous savez, nous ne croyons pas qu’il y ait de bonne ou de mauvaise situation. Si nous devions résumer notre vie aujourd’hui avec vous, nous dirions que c’est d’abord des rencontres. Des gens qui nous ont tendu la main, peut-être à un moment où nous ne pouvions pas, où nous étions seuls chez nous. Et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée… Parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas l’interlocuteur en face nous dirons, le miroir qui nous aide à avancer. Alors ça n’est pas notre cas, comme nous disions là, puisque nous au contraire, nous avons pu : et nous disons merci à la vie, nous lui disons merci, nous chantons la vie, nous dansons la vie… nous ne sommes qu’amour ! Et finalement, quand beaucoup de gens aujourd’hui nous disent « Mais comment faites-vous pour supporter cette inhumanité ? », et bien nous leur répondons très simplement, nous leur disons que c’est ce goût de l’amour ce goût donc qui nous a poussé aujourd’hui à entreprendre une construction mécanique, mais demain qui sait ? Peut-être simplement à nous mettre au service de la communauté, à faire le don, le don de soi… »
Il semblerait donc que malgré des cages trop petites et un sol en béton, nos cousins primates prennent plutôt bien leur situation. Article 100% 1er avril. FakeNewsMonFilsMaBataille