Le Longevity festival de Strasbourg, c’était comment ?

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Ce weekend, j’ai couvert mon premier événement pour Pokaa : le Longevity Festival, quatrième édition.

Je dois t’avouer que j’avais un peu la pression de passer après la talentueuse Cécilia (pour voir ou revoir sa couverture de l’an dernier, c’est par ici). Heureusement, la CTS est toujours là quand on a besoin d’elle : mon bus accusant un retard de 30 minutes, j’étais trop énervée pour stresser ! MERCI QUI ?!

NDLR : Askip c’est la faute aux contrôles frontaliers, mais écoute, moi je vois une mare, j’ai un pavé dans la main, alors qu’est-ce que je fais ? Ben je jette un pavé dans la mare, pardi ! Je suis comme ça moi, une petite nénette entière, même pas peur de dénoncer, l’Edward Snowden du transport en commun, rien que ça.

Alors le Longevity Festival, qu’est-ce que c’est ?

Comme dit par l’ami Samy dans sa récente rétrospective, le Longevity est un festival de musique électronique organisé par l’association du même nom au Jardin des deux rives, le parc transfrontalier qui unit la France à l’Allemagne. Ce choix de lieu fédérateur n’est pas un hasard : avec cet événement, Longevity veut démocratiser la musique électronique, associée aux arts visuels, auprès d’un public varié allant de l’ado hypé à la famille posée. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que le pari est réussi !

Ce weekend, j’ai ainsi pu déambuler en chill dans un cadre arboré joliment décoré, entre des français et des allemands, des jeunes lookés et des moins jeunes branchés, le tout sur un fond sonore tantôt lounge tantôt minimale à pas piquer des hannetons. Ça dormait sur les transats, ça jouait aux cartes dans l’herbe, ça dansait sous les arbres et ça se restaurait gentiment au bar…

On dit qu’une image vaut mille mots, je laisse donc mes modestes clichés ainsi que ceux de ma super acolyte, Hélène, parler d’eux-mêmes. Merci à l’organisation pour les accès, et à tous les festivaliers d’avoir joué avec moi ! J’espère que mes photos vous régaleront comme vous m’avez régalée… Une chose est sûre : on se revoit l’année prochaine !

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– Photographies & texte : Chloé Moulin –

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– Photographies : Hélène Berrier –

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