Après plusieurs incidents, la direction des Bains municipaux a décidé de mettre fin aux créneaux naturistes réservés aux femmes, tout comme ceux pour les hommes. À partir du 1er mars, tous les créneaux naturistes seront donc mixtes.
La saga des créneaux naturistes exclusivement réservés aux femmes prend fin. Absents à la réouverture des Bains, ces créneaux avaient fait leur grand retour en mars 2022. Finalement, presque trois ans jour pour jour plus tard, ils disparaissent à nouveau.
La raison ? Des incidents qui se sont répétés ces derniers mois, comme des agressions physiques et verbales, le non-respect de l’âge minimum d’entrée et le manque de respect du lieu.
De multiples manquements qui avaient déjà poussé la direction des Bains municipaux à les interrompre temporairement en janvier. Après une table ronde organisée le 18 janvier pour trouver une solution, la décision est finalement tombée le 13 février dernier.
Des créneaux naturistes désormais uniquement mixtes aux Bains municipaux
À partir du 1er mars, il n’y aura donc plus de créneaux 100% féminins au sein des Bains municipaux. Par ailleurs, cette disparition acte également celle des créneaux 100% masculins. Mais ces décisions ne marquent toutefois pas la fin du naturisme aux Bains municipaux : les créneaux deviennent en effet entièrement mixtes, toujours à partir du 1er mars.
Concrètement, les nouveaux horaires seront les suivants :
- Les mardis et jeudis soirs, de 20h à 22h. L’accès se fera à partir de 19h45, et l’évacuation à 22h. La sortie du bâtiment s’effectuera, elle, à 22h30.
- Les créneaux du dimanche sont quant à eux supprimés.
- Les espaces concernés par ces créneaux mixtes sont les bains romains et la balnéothérapie.
Une solution qui compte bien régler les problèmes qui ont émaillé l’histoire des créneaux naturistes féminins ces trois dernières années.
Donc quand tu viens passer un grand we à Strasbourg, fini la détente aux bains du dimanche matin.
Ben on fera les grands we en Allemagne. C est tout vu. Vraiment on regrette l ancienne piscine et la gestion publique. Plus cher moins bien, à fuir