Tout au long de l’année, l’AFGES met en place une hotline pour répondre aux questions des étudiant(e)s strasbourgeois(es). Disponible 24h/24 et 7j/7, des dizaines d’élu(e)s étudiant(e)s de l’association se relaient pour répondre à n’importe quelle question en lien avec la vie étudiante.
C’est un dispositif qui pourrait s’avérer bien utile pour celles et ceux qui font leurs premiers pas dans la vie étudiante et à Strasbourg. L’AFGES (Association Fédérative Générale des Étudiants de Strasbourg) met à disposition sa sa propre hotline.
Dès la rentrée et tout au long de l’année, les étudiant(e)s strasbourgeois(es) peuvent joindre 24h sur 24 et 7j sur 7 des élu(e)s de l’AFGES pour poser n’importe quelle question concernant la vie étudiante en écrivant à l’adresse suivante : [email protected]. « En un seul mail, on répond à toutes leurs questions, sur un nombre de thématiques presque infinies ! » fait savoir Chloé, présidente de l’AFGES.
Il sont une soixantaine d’élu(e)s à se relayer, pour répondre au plus vite à chaque demande. Ils peuvent répondre à toutes sortes de problématiques, par exemple en cas de difficulté pour trouver un logement, pour les problèmes de bourses ou d’inscription, pour les admissions en master, pour l’alimentation ou les repas à 1 euro ou tout ce qui concerne leur quotidien en tant qu’étudiant(e).
« Ça peut aussi être juste un étudiant qui aimerait rencontrer d’autres étudiants de sa filière, alors on va le mettre en lien avec d’autres personnes. On a chacun nos thématiques un peu phares, donc pour certaines questions, on fait vraiment du cas par cas et du très personnel pour pouvoir accompagner l’étudiant quelle que soit sa difficulté.» précise Chloé.
« On reste cette première porte, cette première écoute, qui permet d’éviter de perdre des jours à trouver le bon interlocuteur.»
Quand le sujet dépasse leur domaine de compétences, les membres de la hotline redirigent vers le contact le plus adéquat, comme le CAMUS, le Service de santé étudiante ou encore les étudiants relais quand il s’agit de santé mentale par exemple. La présidente de l’AFGES ajoute : « Mais on reste cette première porte, cette première écoute, qui permet d’éviter de perdre des jours à trouver le bon interlocuteur.»
Précision importante, le contact par mail permet à celles et ceux qui le souhaitent, de poser leurs questions de manière totalement anonyme. La plupart du temps, d’après Chloé, les problèmes peuvent se régler à distance. À l’inverse, si un(e) étudiant(e) a besoin d’un accompagnement plus poussé, les membres de la hotline peuvent aussi proposer une rencontre.
Dans le futur, l’AFGES espère pouvoir également mettre en place un numéro à contacter, dont un(e) volontaire en service civique aurait la responsabilité. Mais pour le moment, la hotline par mail reste le moyen le plus efficace d’obtenir une réponse rapide à ses questions.