Dans le cadre d’un de leur cours, cinq étudiants strasbourgeois en communication ont trouvé le moyen d’apporter leur soutien et de la visibilité à l’association Ru’elles, engagée contre le harcèlement de rue. Les étudiants réunis sous le collectif Zenaa ont lancé une campagne d’affichage dans les rues de Strasbourg sous le hashtag #cetaitla pour dénoncer les violences et le harcèlement de rue.
Touchés par la forte mobilisation sur les réseaux au cours de ces derniers mois contre le harcèlement et les violences dans les rues strasbourgeoises, cinq étudiants en communication ont lancé une initiative pour soutenir la jeune association Ru’elles née en juillet dernier suite à la création du groupe Facebook “Témoignages et soutien violences sexistes de rue – Strasbourg“.
Une vaste campagne d’affichage dans la ville
C’est dans le cadre d’un projet de cours que les cinq étudiants ont imaginé une action visant à attirer l’attention des Strasbourgeois sur le harcèlement de rue. Ils contactent alors l’association Ru’elles, dans l’objectif d’utiliser la carte interactive alimentée par ses membres ayant pour objectif de recenser les cas de harcèlement de rue, les agressions verbales et physiques des femmes à Strasbourg. Une initiative appréciée par l’association : “On a très bien reçu l’initiative, ça a permis de donner encore un peu plus de visibilité à nos actions sur le terrain et sur les réseaux sociaux.” indique Tiphany, présidente de Ru’elles.
Réunis sous le collectif Zenaa, les cinq étudiants ont affiché dans la ville les lieux de plusieurs agressions et violences mentionnées sur la carte interactive. À chaque point concerné on trouve alors un sticker “pin” qui désigne l’endroit où s’est déroulé l’agression ou le harcèlement, accompagné d’un second collage comprenant le prénom de la victime et une précision sur le type de violence : “agressée verbalement, accostée et suivie, harcelée sexuellement, etc.” Aujourd’hui, près de 62 localisations sont affichées dans les rues de Strasbourg. “Le but, c’est de porter le message en dehors des réseaux sociaux. On voulait donner une portée plus physique et atteindre d’autres personnes car tout le monde n’a pas forcément vu la mobilisation qui a eu lieu sur les réseaux. On vient en soutien à l’association Ru’elles et à la cause qu’ils défendent.” explique Apolline, une étudiante du collectif Zenaa.
Un micro-trottoir et un hashtag pour relayer l’action
Les étudiants sont également allés à la rencontre des Strasbourgeoises et Strasbourgeois dans le cadre d’un micro-trottoir pour les interroger et connaître leur opinion sur la problématique du harcèlement de rue.
L’ensemble de cette opération de communication est relayée via le hashtag #cetaitla. Les membres invitent aussi tous ceux qui le souhaitent, à prendre en photo les lieux où se trouvent les collages et à les partager sur les réseaux.
Mais on parle de l’origine ethnique de 95% des harceleurs?
Toujours pas ?
Ces abrutis de féministes continuent de nier le fait que cela et du à l’immigration et à la trop haute démographie de certaines populations , elles doivent arrêtés de nier celà , et arrêter de faire du chantage au harcèlement , ont à le droit à la liberté d’expression et le droit de séduire qui ont souhaite , et exprimer nos désirs à la personne que nous souhaitons , il n’y a rien de mal à celà , c’est elles qui se victimise et ont une mentalité de lâche
@profemme. Surtout pas, faut se voiler la face, dans tous les sens du terme… que les stats ethniques soit autorisés comme dans de nombreux pays!