Sur le groupe Facebook Étudiant de Strasbourg, on découvre ces dernières semaines de plus en plus de témoignages de femmes qui prennent la parole pour dénoncer les violences et les agressions qu’elles subissent quotidiennement dans les rues de Strasbourg. Face à l’ampleur de cette libération de la parole, un groupe Facebook a vu le jour. L’objectif ? Proposer un espace de soutien pour les victimes, mais aussi répertorier les témoignages sous forme de carte pour pouvoir lutter efficacement contre ce phénomène. À Strasbourg, les citoyens.nes s’engagent et comptent bien reconquérir l’espace public, squatté par les harceleurs.
“Il me demande « Do you speak english ? » « non », « parle français ? » « non », je recommence à marcher et il continue à me suivre en parlant (toujours très insistant). « Habite Cronenbourg? » « non ». « Donne moi ton Instagram !! » « NON » « Donne Instagram » « NON, NON, NON ». J’ai vraiment cru que j’allais devoir me battre…”, “Quand il me parlait il prenait mon bras de manière assez insistante et à un moment a mis sa main sur ma fesse.”, “Il y a quelques jours un homme a tenté de m’enlever ; un monsieur très insistant demandant son chemin.”, récemment, les témoignages de violences et de harcèlement de rue se multiplient sur le groupe Facebook Étudiants de Strasbourg. De nombreuses femmes prennent la parole pour raconter les agressions qu’elles subissent dans les rues strasbourgeoises et en profitent pour mettre en garde les autres.
Harceleurs souriez, vous êtes fichés !
Lorsqu’elle découvre la hausse impressionnante de témoignages de harcèlement de rue sur le groupe Étudiants de Strasbourg, Tiphany se sent tout de suite concernée : “Évidemment, c’est un sujet qui me touche aussi. Je me sens de moins en moins en sécurité à Strasbourg. Je suis arrivée en 2014 et j’avais beaucoup moins ce sentiment d’insécurité. Et depuis 1 ou 2 ans, j’ai l’impression qu’il y a de plus en plus de témoignages d’agressions à caractère sexiste dans la rue.” Elle décide alors de créer un groupe dédié aux violences et au harcèlement de rue à Strasbourg. Et en seulement un week-end, elle réussit à rassembler près de 600 membres. L’objectif, c’est avant tout d’offrir un espace rassurant et sécurisant pour les femmes : “Car sur Étudiants de Strasbourg, il y a des jugements, des remarques humoristiques alors que ça n’a pas lieu d’être. Moi, je veux que les filles soient écoutées, rassurées et montrer qu’il y a une vraie solidarité au sein du groupe. Car le harcèlement, c’est quelque chose qui marque psychologiquement.” Le groupe est privé, et chaque personne souhaitant le rejoindre doit accepter d’être bienveillant. En tant que modératrice, Tiphany invite toutes celles qui le souhaitent à poster leur témoignage.
Une fois les témoignages recueillis, Tiphany s’attelle à les répertorier sur une carte interactive. Les actes y sont répartis en trois catégories selon un système de couleur. La première catégorie concerne le harcèlement de rue : “Ça va être les hommes qui suivent une femme dans la rue par exemple.” ; la deuxième est consacrée aux violences physiques : “Donc ça va être des coups, des violences, voir même des viols.” ; et enfin la troisième correspond aux agressions verbales : “Par exemple un homme qui nous traite de sale chienne quand on marche dans la rue.” Pour chacun des témoignages, l’administratrice place le point sur la carte, précise la date, l’heure et ajoute une description de l’événement et de l’individu, en taisant le nom de la victime.
Même si le recueil des données n’en n’est évidemment qu’à ses débuts, la jeune femme affirme que certaines tendances se dessinent déjà. Le quartier gare, la rue Kageneck et celles autour du Musée d’Art Moderne semblent être des zones qui ressortent beaucoup dans les témoignages. Parfois même, certains profils semblent reconnaissables : “Il y a des individus qui sont récidivistes. Il y déjà des choses qui ressortent dès maintenant ; des modes opératoires, des descriptions similaires.” Pour Yamna, également membre du groupe, les problèmes principaux restent les mêmes : “L’impunité des agresseurs, le manque de moyens et de formation de la police (autant dans l’accueil que dans le domaine légal) et l’inaction de la justice. Les agresseurs décrits dans les témoignages ont entre 20 et 50 ans, certains d’entre eux sont là depuis des années dans les rues de Strasbourg sans être inquiétés.”
Un groupe Instagram “Vigilance Strasbourgeoises” a également été créé par l’un des membres du groupe, afin d’être présent sur ce réseau et d’y relayer les témoignages.
Une recrudescence post-confinement ?
Plusieurs membres s’accordent à dire que la situation semble avoir empiré après le confinement. Tiphany confirme : “Depuis la fin du confinement, on voit une recrudescence assez incroyable c’est presque une fille qui témoigne tous les jours. C’est plus forcément des actes qui se font dans la nuit, mais c’est toute la journée et donc ça contribue au mal-être. Maintenant, même en journée on a peur et c’est juste pas possible d’être privé de cette liberté de jouir de l’espace public. Ce n’est plus possible, on ne peut plus continuer comme ça.” Auprès de ses amis, et de ses connaissances, la jeune femme reçoit le même écho : “J’ai un ami qui est videur de boîte de nuit et qui lui-même a remarqué une augmentation des violences, on remarque un accroissement de la violence et de l’agressivité depuis la fin du confinement.”
En effet, la période un peu particulière de post-enfermement durant plusieurs mois, mais aussi le passage d’une municipalité à une autre avec tout ce que cela implique comme changements politiques à mettre en place, semblent peut-être laisser davantage le champ libre à certains comportements.
Seules contre tous ?
Les Strasbourgeoises sont-elles condamnées à affronter seules ce combat ? Il est vrai qu’elles sont nombreuses à craindre la façon dont elles seront reçues, au commissariat. Remarques sexistes, minimisation des faits, ceci ajouté au fait que les plaintes et les démarches engagées n’aboutissent que très rarement, beaucoup de victimes semblent découragées et ne pas trouver la réponse et le soutien approprié après leur agression.
Mais si beaucoup se sentent seules et se méfient de la gente masculine après avoir fait face à de tels comportements, Tiphany n’entend pas, pour autant, exclure les hommes et espèrent bien qu’ils seront nombreux à prendre part à l’initiative. “Je suis entourée d’hommes qui sont très touchés par la cause, je pense que c’est important de le faire ensemble. Pour moi il faut faire front ensemble pour cette cause. Plus on sera nombreux, plus on aura de poids.” Les hommes sont donc aussi les bienvenus dans le groupe Facebook : “C’est important de sensibiliser les hommes à ce phénomène, parce qu’ils ne savent même pas forcément ce qu’il se passent dans la rue. Et il y en a aussi qui veulent s’engager, ou bien qui s’indignent. Et aussi pourquoi pas inciter à agir quand on voit une femme dans la rue qui se fait harceler et se dire : non je ne peux pas accepter, ça je vais aller l’aider!”
Bientôt une association et une pétition adressée à la nouvelle maire ?
Suite à l’accumulation de témoignages, c’est non seulement une libération de la parole qui semble s’opérer à Strasbourg mais aussi tout un projet qui semble prendre forme. Il semble y avoir une vraie volonté d’agir, et de faire remonter les informations aux pouvoirs publics en place et d’en attendre des réponses et des solutions concrètes : “Grâce à ces témoignages, on pourra essayer de trouver ensemble des solutions. Car beaucoup imaginent pleins de choses et donc le but c’est d’y réfléchir tous ensemble, de notre côté, et de celui de la municipalité.” ajoute Tiphany.
Afin de se rassembler et de s’organiser sur le long terme, une association devrait être créée. “On a décidé de créer une structure associative qui permettra de mettre en place des solutions par la suite. On est déjà quasi 600 membres dans ce groupe, on voit qu’il y a un vrai problème de fond et que les gens veulent s’engager. Ils en ont marre, les femmes comme les hommes. Une structure, ça va permettre de faire perdurer ce mouvement, que ça ne retombe pas, pour pouvoir vraiment faire face au problème.”
Yamna quant à elle, propose de se rapprocher des associations existantent afin de leur proposer de rédiger une pétition adressée à la nouvelle maire de Strasbourg, Jeanne Barseghian : “Travaillant moi-même dans la coordination de projet associatif, particulièrement dans le domaine de la défense des personnes et de la protection des droits, il m’a paru évident qu’il fallait en complément d’initiatives citoyennes, rendre le sujet et la responsabilité de la situation public en s’adressant aux associations spécialistes du sujet et en demandant à l’autorité publique de protéger ses citoyen.nes. L’impunité doit cesser, l’espace publique doit appartenir à TOUT le public.”
Différents points pourraient y être mentionnés comme la nécessité d’alerter sur les témoignages hebdomadaires croissants sur le groupe Facebook Étudiants de Strasbourg, questionner la municipalité sur certains agresseurs qui semblent sévir depuis plusieurs mois et années à Strasbourg, pointer du doigt l’accueil de la Police, réclamer qu’une commission dédiée travaille sur des réponses concrètes (comme des campagnes d’information, ou encore généraliser la proposition du “cocktail mademoiselle” dans les bars strasbourgeois.). “Jeanne Barseghian vient d’être élue et sa politique donne l’espoir à plusieurs d’entre nous d’un renouveau sur plusieurs plans. Nous espérons qu’elle entendra notre appel et qu’elle agira.” conclut Yamna.
Franchement, si des graphistes se sentent inspiré-e-s, pourquoi pas une campagne d’affichage avec des dessins explicites et éventuellement un rappel à la loi clair, en une phrase (avec même un peu d’humour sarcastique si possible), dans TOUTE la ville. Ça contribuerait à l’Éducation de tous (ça pourrait même remplacer d’affreux panneaux publicitaires…). À méditer.
Aucune action de communication ne changera le caractère prédateur de ces personnes ou leur rapport aux femmes en général. Une affiche 4×3 ne changera pas leur éducation, leur culture, leur respect des femmes ou encore leur approche au sexe. C’est illusoire et presque naïf de croire qu’une affiche peut changer le comportement de ces déchets. Ni avec des jeux de mots sympas ni avec de jolies images gaies et colorées d’agences de com. La violence de ces gens se moque bien d’une campagne d’affichage molle, validée par un dircom déconnecté du réel et qui durera au mieux 15 jours dans quelques abri-bus de la ville.
C’est ça… On est en pleine guerre civile, les gens ne peuvent plus sortir de chez eux sans se prendre un coup de couteau et toi tu veux coller des affiches 😃 Le gauchisme n’est pas qu’une maladie mentale. Le gauchisme tue… Physiquement…
Je ne suis pas d’accord avec vos critiques Ivan et Gugusse. C’est justement parce que le problème est difficilement soluble (voire insoluble) pour neutraliser les ratés de notre sociétés actuelle, à un instant T, qu’il est aussi et surtout de notre devoir a tous, URGEMMENT, de mettre en place les solutions pour empecher les ratés de demain, a savoir EDUQUER LES PLUS JEUNES. Mettre ce genre d’affiche peut porter ses fruits, pas pour neutraliser les harceleurs actuels mais pour aller a contre courant d’une mentalité qui fait l’apogée de la répression et neglige l’education, une mentalité qui selon moi ne mène à rien. On attend bien sur vos bons conseils pour neutraliser la violence actuelle, peut etre avec plus de violence puisqu’a priori vous semblez vous distinguer des “gauchistes” que vous traitez de malades mentaux (faut-il tripler les patrouilles de police, mettre un flic a tous les coins de rue en permanence dans toutes les villes de France, engager des milices privées, des drones patrouilleurs ou encore pourquoi pas former les citoyens eux-mêmes au tir en les encourageant à se ballader armés, qui auront tout loisir de tirer à vue en pleine rue pour se défendre ? Apres tout, tout le monde sait que ca fonctionne très bien aux etats unis avec de bons resultats, n’est ce pas) On pourrait aussi construire des prisons (a la place des ecoles si besoin) et enfermer les “déchets” de la société dedans, mais il faudra à defaut de les tuer les enfermer a vie, puisqu’on sait très bien qu’ils ne changeront pas en prison…)
En tous les cas quand vous aurez choisi une ou l’autre de ces solutions “efficaces” qui trouveront grace a vos yeux, en attendant que vous militiez pour eradiquer la violence par une justice punitive merci de ne pas critiquer les personnes qui essayent de voir un peu plus loin, en particulier en les taxant de gauchistes, ce qui est une forme de raisonnement sectaire qui s’apparente finalement un peu au sexisme. Quel paradoxe…
Mesdames, votre cause est extremement difficile a defendre et ca vous l’avez bien compris. Parce que notre société, qu’elle l’admette ou non, ferme les yeux sur la realité des violences, et cela favorise l’inaction socilae. En fait vous souffrez actuellement de la mentalité des hommes d’il y a 50 ans, qui se repercute sur les générations suivantes, et on en payera toujours les pots cassés générations après génération. D’après moi, et ce QUEL QUE SOIT le débat (ca vaut aussi pour le racisme) notre meilleure chance est dans l’education. Changeons les mentalités en apprenant aux gens à penser differemment, à l’echelle des générartions futures, pour leguer une société plus sereine à vos petites filles et arriere petites filles a defaut d’en bénéficier vous meme. Et si ca peut sensibiliser les gens et faire germer d’autres projets, d’autres idées, idéalement plus judicieuses que celles qu’on voit regulierement fuser sur les reseaux sociaux sponsorisés par les mouvements d’extreme droite, et bien je suis convaincu que les campagnes de com sont de bonnes choses aussi dans cette optique, afin de forcer la société toute entiere à arreter de fermer les yeux. Critiquer ces projets en pretextant que ca ne suffit pas, c’est aussi gave que l’immobilisme, mais moins grave que de proposer pire… A bon entendeur.
“Le meilleur moment pour faire pousser un arbre, c’était il y a 20 ans. Le deuxième meilleur moment, c’est aujourd’hui”
Je conseillerais surtout aux femmes d’apprendre le self défense ou tout autre sport de combat qui permet la gestion des situations conflictuelles ou d’agressions physiques et verbales. Gérer son stress et donner un bon coup de pied, ça s’apprend. Si Strasbourg n’est plus ce qu’elle était pour “différentes raisons” il va falloir s’adapter à ce nouveau climat en attendant l’inaction des politiques. Le vrai féminisme c’est aussi d’apprendre à ne pas se laisser faire et apprendre à répliquer en mettant les points sur les i et en mettant des poings dans des gueules si besoin.
Sur ce point je te rejoins Ivan. A defaut d’un projet efficace pour changer vite la société, j’ai moi aussi prevu d’apprendre a ma fille dès qu’elle en aura l’age, à se defendre physiquement en cas de besoin. C’est dommage d’en etre reduit a ca mais c’est clair d’après moi qu’en l’etat actuel des choses ca s’avere très utile voire indispensable de savoir se defendre d’une aggression. Sans compter le fait qu’il ne suffit pas de ne pas se faire aggresser, il est aussi appréciable de pouvoir se ballader en ville sans avoir peur de se faire aggresser parce qu’on se sent capable de se defendre le cas echeant. Le self defense est une arme aussi contre la peur.
Très inquiétant tous ces constats de harcèlement à Strasbourg.
Pour moi il est évident que toute personne ( homme ou femme) doit se sentir concernée et réagir lorsqu’elle est témoin de harcèlement, il faut que la femme victime cesse tout dialogue avec le harceleur et prenne les gens à témoin pour ne pas rester isolée face à lui.
Et si on commençait par arrêter de voter pour des mecs qui mettent acquittaror au ministère de la justice et un violeur à l’intérieur ?
Sinon aux usa le port d’arme est particulièrement apprécié des femmes. Car il se trouve qu’en dehors de la propagande gauchiste, il y a des faits concrets qui prouvent que si les armes à feu tuent, elles sauvent aussi beaucoup de vies. Il faut regarder les statistiques des états autorisant le port d’arme par rapport à ceux l’interdisant…
Bien sûr en théorie chaque personne doit intervenir si elle peut le faire. C’est la loi. Cela dit les témoins d’agression se posent la question avant d’intervenir surtout si ils n’ont aucune connaissance en combat main nue ou face à une personne armée d’un couteau. À 1 contre 1 c’est déjà parfois difficile. Seul contre 2 lascars qui n’ont ni crainte de la Police ni d’une sanction pénale, si vous n’êtes pas formé un minimum vous vous ferez démolir. Les faits divers ne manquent pas d’exemples tel que celui de Marin qui est devenu lourdement handicapé après avoir courageusement défendu un couple à Lyon agressé par une demi douzaine de “jeunes”. Ou encore ce jeune militaire qui après avoir mis KO des agresseurs s’est retrouvé sur le banc des accusés.
Pourrait-on en savoir plus sur le profil des agresseurs ou c’est pas politiquement correct?
Oui, vous pouvez lire les commentaires des personnes agressées. Il y a des indications sur les lieux des agressions et les profils des agresseurs.
Ma femme a déjà subis du harcèlement à Strasbourg. Je crois que je vais commencer à cherchez c’est connards en rute pour leur casser la gueule, pas d’autres solutions , le dialogue ne fonctionne pas.
#justiceoumilice
Fallait pas voter pour des traîtres au peuple français pendant des années et cracher sur ton histoire, ton identité, ta culture. Maintenant ta femme se fait violer et personne peut t’aider parce que tu n’es entouré que de fiottes sous équipées et surtout pas fiables quand il s’agit de se salir les mains. Maintenant tu en es à demander l’aide de l’état que tu as bien engraissé avec tes impôts. Tu sais que si tu te fais justice toi même tu risques de tout perdre. Et tu réalises que tu as voté pour ton pire ennemi depuis des années… Mais t’inquiètes ils n’auront pas ta haine lol….
Fatigué de lire des commentaires bisounours, dégoulinant de bienveillance, qui pensent encore que c’est avec des pancartes et des slogans qu’on va y mettre un terme aux harcèlement sexuels…
Une bonne majorité sont des hommes étrangers qui obéissent à d’autres codes culturels – très patriarcaux – où la femme n’est qu’un objet et l’homme a tous les droits. Ceux là, il faut simplement les dégager illico hors d’ici.
Le reste sont des français, énormément frustrés, à qui il faut nous permettre de pouvoir leur péter les dents sans finir accusés et foutre aussitôt en taule pour qu’ils sentent au plus profond d’eux-mêmes ce qu’est réellement un viol.
Solution concrète : self-défense, bombe lacrymo, hurler au secours.
PS : C’est pas en crachant sur les FDO et en l’accablant de tous les maux comme c’est à la mode en ce moment que ça ira dans la bonne direction, au contraire.
PS2 : ce n’est pas en pleurnichant contre le prétendu patriarcat que vous allez donner l’envie aux hommes de prendre le risque de vous défendre non plus.
Ce qui serait intéressant c’est d’avoir le profil type des agresseurs car ce n’est pas en tournant autour du pot qu’on réglera le problème.
C’est vrai que ça fait un peu mal au cul de s’entendre dire depuis des années qu’on est des mâles blancs racistes, oppresseurs et patriarcaux parce qu’on vous invite au resto et de se voir ensuite demander de l’aide des féministes qui finalement ne font que goûter aux conséquences de leurs conneries… Sans vouloir faire dans l’oppression systémique, je vous encourage à vous éloigner des courants féministes actuels qui vous ont amené là et d’aller vers des mouvements féministes comme le groupe Némésis….
Je ne peux qu’appuyer ces derniers commentaires.
Gare, Kageneck et MAMCS. Rien d’étonnant ! Il suffit de voir le genre de populace qui s’y concentre. La même que la nouvelle municipalité affectionne et soutien, avec nos impôts. A force de laisser s’installer toute la chia…t du monde, voilà le résultat. A quand une milice d’auto défense ?
Je préfère laisser voir faire la nouvelle municipalité. Après tout à eux de gérer cela. Rendez vous dans 1 an pour le premier bilan. Mais je sais déjà que la situation va se dégrader, encore. Les femmes de mon entourage sont des femmes conscientes qui heureusement ne sont plus dans l’angélisme, le politiquement correct absolu et la bien pensance gauche. Elle réagissent en conséquence et adoptent de nouveaux réflexes. C’est ce qui sauvera les femmes, adopter un angle réaliste des problématiques de sécurité publique. Rompre avec un féminisme qui avant tout les met en danger. On voit le résultat actuel.
Aucun soucis faites des affiches, placardez les abri-bus, saturez les espaces publics, les collèges et lycées. Construisez des écoles et fermez des prisons selon la doctrine Hugo. Rameutez les journalistes pour leur faire entendre la bonne parole bienveillante dans des conférences de presses. Réalisez des campagnes réseaux sociaux FB, IG, YT, etc. Les harceleurs de demain en rigolent déjà. Ils sont sur youporn en ce moment. Leurs parents ne les éduquent pas ou selon des valeurs d’un autre temps ou parfois d’un autre lieu.
Continuez votre mécanique de pensée qui nous a menée là où nous sommes, dans les barbaries quotidiennes de ces derniers mois.
Je suis pour la mise à l’écart des dangers pour la communauté, pour des peines multipliées par 4 ou 5 ans. Pour le retour de la sévérité ou peine rime avec pénibilité.
Vos écoles n’ont pas enrayé l’ensauvagement actuel. Oui. Les deux vont de paire, l’éducation et l’apprentissage que le crime est punissable et avec sévérité et exemplarité. Quant aux idées “d’extrêêême drouaate” vous ne laissez, par vos méthodes laxistes et disfonctionnelles aucune autre alternative. Croire qu’on peut les rééduquer ou leur donner d’autres codes est une illusion de la gauche mitterrandienne qui nous a flanqué dans le mur. Nous devons vivre aujourd’hui avec les échecs d’une certaine politique. Une éducation nationale gangrénée depuis des décennies par cette même pensée de gauche qui a installé le laxisme, l’irrespect, l’absence de politesse dans certaines écoles. Alors allez-y, faites donc de jolies affichettes…
C’est tout à fait cela. Une personne qui sait se défendre dégage une assurance et apprend ce qui est bon de faire ou non. Comme dans la savane le prédateur s’attaque au plus faible du troupeau. Une personne entrainée sait évaluer les risques et les dangers. Une très bonne chose à faire pour nos proches. Donner des moyens pour être plus fort.