Décidément, le monde de la restauration strasbourgeoise est en constant mouvement, et le jeu des ouvertures et des fermetures continue de susciter de la curiosité. La preuve aujourd’hui encore avec l’arrivée d’une belle nouveauté qui vient animer le quartier du Contades. On vous touche quelques mots sur Le Petit Beefbar, une adresse tout en élégance qui vient de s’installer à la place d’une brasserie emblématique que vous connaissez déjà : Le Pont des Vosges.
Le 12 novembre dernier, Le Pont Des Vosges tirait définitivement sa référence pour laisser la place au Petit Beefbar, un restaurant de la marque monégasque Beefbar imaginée par Riccardo Giraudi et spécialisé dans les viandes d’exception du monde entier.
Après avoir conquis les plus belles villes du globe, de Londres à Prague en passant par Édimbourg ou New York, le groupe s’est installé au cœur des beaux quartiers de Strasbourg.
Désormais, à la place du Pont des Vosges, une institution restée ouverte plus de 30 ans, c’est un tout nouvel univers totalement repensé qui est proposé aux Alsacien(ne)s.
On ne va pas se mentir : l’arrivée de ce nouveau resto souffle également un vent de fraîcheur dans ce quartier résidentiel où les nouveautés se font rares.
À la fois plus élégant et plus moderne que son prédécesseur, Le Petit Beefbar s’installe toutefois sans effacer le passé, car si le nom Pont des Vosges apparaît toujours sur la nouvelle devanture, c’est parce qu’une partie de son ADN a été conservée.
Élégant et décontracté, gourmand et raffiné : bienvenue au Petit Beefbar
Un design qui marie subtilement le moderne et l’ancien, des matériaux nobles, un comptoir en marbre et de petits recoins pour s’installer à la manière d’un café parisien, rien à dire : le restaurant a vraiment de la gueule.
Dans une ambiance chaleureuse et cosy, et grâce à une succession de petits détails qui lui donnent un air confortable et douillet, le restaurant donne vraiment envie de s’installer et de salir les jolies nappes blanches.
Au milieu de ce décor raffiné qui n’en fait pas trop, les chefs proposent une cuisine qui modernise, sans dénaturer, les classiques des brasseries françaises.
On nous propose des viandes d’exception, des plats signatures inédits, des clins d’œil évidents à la gastronomie alsacienne, et des plats qui s’inspirent des cuisines du monde.
Tarte flambée à la truffe, sole meunière, foie de veau, tartare de bœuf à la praline, onglet à l’échalote, bavette de wagyu sauce chimichurri, milanaise de veau ou encore smash burger et entrecôte d’exception : le mariage des genres est assez bien ficelé (et c’est très rare).
Les plats sont toujours très bien présentés, le service est de qualité, et une attention toute particulière est portée aux arts de la table, et ça fait vraiment la différence.
Certaines viandes arrivent sur un barbecue encore chaud, les assiettes et les plats ont tous un design singulier pensé dans le détail, certains desserts sont assemblés à table, et tout cela apporte à la fois du « spectacle » et une petite saveur de modernité.
Les plats ont de l’allure, les cuissons sont impeccables, les sauces sont à tomber, et la qualité des viandes est tout simplement irréprochable, en fait : la barre est vraiment très haute (et les prix le sont évidemment aussi).
Que vous ayez envie d’un plat de style street food à midi, d’un carpaccio, d’une salade césar, d’un poulet frit… ou que vous penchiez plus pour un bœuf mijoté, des lasagnes ou une viande japonaise d’exception, vous savez désormais que le Petit Beefbar est ouvert 7 jours sur 7.
Les petits et gros +
- Le restaurant est ouvert 7 jours sur 7 le midi et soir (et c’est le seul dans le quartier).
- Une formule du midi est proposée avec entrée + plat à 29€.
- Jambon de kobé, filet de boeuf, onglet, cordon bleu etc., les viandes sont à tomber.
- Le service est vraiment bien maîtrisé (même si tout n’est pas encore parfait, c’est normal puisque ça vient d’ouvrir).
- La carte du midi change de celle du soir.
- Les desserts sont aussi un délice, tout est maîtrisé
- Vous reconnaitrez probablement Carine Jung, un visage bien connu de l’ancienne maison qui est toujours à la manœuvre.
- Une très jolie terrasse de 25 couverts est proposée les jours de beau temps.
- Les présentations sont toujours soignées.
- La déco est vraiment bien réalisée.
- Attention, même si la qualité est vraiment au rendez-vous, la note monte très vite.
Établissement
Le Petit Beefbar
Quoi ?
Restaurantoù ?
15 quai Koch, à StrasbourgPlus d'infos ?
Tél : 03 88 36 47 75
Les clients et les riverains apprécient la suppression des 15 places de stationnement sous les arbres du quai Koch.
Rien que de voir la tronche des frites qui accompagnent les viandes , je n’y mettrai jamais les pieds et en plus les plats n’ont absolument rien d’original. 9a ressemble à du tout venant, comme la plupart des nouveaux restos de Strasbourg qui disparaissent plus vite qu’ils n’apparaissent
la mondialisation dans toute sa splendeur !
En 2001, Riccardo Giraudi a rejoint l’entreprise familiale créée par son père, Erminio Giraudi dans les années 1970 : Giraudi Group1. Le groupe est un des leaders européens dans l’import/export de viande (40 % veau, 30 % bœuf, 10 % porc).
Avec le mercosour, le boeuf Brésilien, Chilien ou Argentin dans l’assiette., sachant qu’il y a déjà de fortes « chances » que la viande vienne d’Australie. Et chez nous, nos éleveurs « crèvent ».
J’apprécie Pokaa pour les adresses sympas à prix doux. Là on parle d’un resto de bobos m’as tu vu avec des prix stratosphériques !!! Franchement : faut pas exagérer. Revenez sur terre Pokaa
ça ne va pas faire long feu ce restaurant …. j’y ai été pour me faire une idée après avoir fréquenté d’innombrables fois cette institution qu’était « Le Pont des Vosges » chez Annie….. Mon Dieu quelle catastrophe !! des pâtes immangeables mal cuites et beaucoup trop épicées, des viandes quelconques avec des sauces industrielles des frites molles et froides le tout dans un cadre sans âme et service maladroit.
J’y étais ce midi : cet article est complètement biaisé. Les prix sont exorbitants pour la qualité des produits / quantités servies.
Vraiment c’est inimaginable … évitez vous une note à 150 balles pour du poulet pané, du carpaccio un peu tiède et un tartare sucré salé (?).
La formule midi – vous parlez d’une entrée et d’un plat à 29€ mais là encore vous induisez les gens en erreur : il s’agit selon les propres mots inscrits sur la carte d’une « mini salade de pousses d’épinards » (je confirme, c’est plus que mini). Et le plat – du lundi en l’occurrence – est un bœuf mijoté (soit une pièce bas de gamme) avec des carottes : whaaaat ?!
Je sais que vous êtes payés pour écrire vos articles, mais là franchement ce n’est pas honnête …
PS : je cherche encore les clins d’œil à l’Alsace – et si vous vous déplacez pour la sole meunière, ce sera la modique somme de 55€ (!!)
Qu’est-ce qui pourrait bien justifier un article aussi flatteur, si ce n’est une énième COLLABORATION COMMERCIALE ? Tout est clair. Chez Pokaa, les ‘bonnes adresses’ ne sont pas toujours ce qu’elles prétendent être. C’est de la PUBLICITÉ. Oui, ces ‘bonnes adresses’ achètent leur article ! Alors évidemment, tout est toujours parfait… (ps : s’agissant du petit beefbar, le journal local de ce 26 novembre, les dna, n’avait pas tout à fait le même avis… et parlait des prix pratiqués justement…)
J’y suis allé hier et franchement j’ai été très déçu.
Temps long pour prendre la commande alors que nous étions en début de service à midi. L’apéritif nous a été servi en même temps que les plats, explication: la cuisine est rapide. Certes…
Pour la bouteille d’eau gazeuse le serveur partage élégamment une petite bouteille de Perrier aux trois convives.
Le bœuf bourguignon était tiède, le tartare insipide et la portion de frites l’accompagnant tiède également et microscopique. Le foie de veau a été apprécié.
Quant à la tarte aux agrumes, mieux vaut passer son chemin…
Avec un verre de Bordeaux par personne et un café, addition totale de 180€.