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Repas de chef et art numérique : des diners immersifs débarquent à 45 minutes de Strasbourg

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On ne joue pas avec la nourriture… sauf peut-être quand il s’agit d’épater autant nos pupilles que nos papilles. C’est le projet d’OPUS : des dîners-expérience d’exception qui nous embarqueront dès novembre dans des voyages en 7 plats. Un partenariat créatif et inventif entre l’artiste numérique Julien Voarick et le chef Sébastien Schmitt, à découvrir à Saverne, à 45 minutes de Strasbourg. Pour une fois : avoir les yeux plus gros que le ventre te sera d’un grand secours.

« Quand l’art culinaire rencontre l’art digital » : le sous-titre d’OPUS annonce la couleur de cette étonnante collaboration artistique. À son initiative ? L’artiste numérique Julien Voarick (et L’AtelierO431), qui s’est rapproché au printemps dernier du chef Sébastien Schmitt (restaurant La Garenne, à Saverne).

L’idée ? « Décloisonner les arts, mélanger les genres pour créer des expériences inédites » et « marier leurs talents pour créer un événement unique, où l’art culinaire et l’art numérique se rencontreraient dans une osmose parfaite ».

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Une expérience culinaire et technologique extraordinaire

Le concept « ambitieux » donne naissance à OPUS. Une expérience visuelle et gustative immersive pensée pour 20 convives, « où chaque plat préparé par [le chef] serait accompagné d’une création visuelle ».

Opus + julien voarick + dîners
OPUS - Dîners expérience. © Æpycen Photographe / Document remis

Le résultat ? Des projections des murs à la table, qui viennent sublimer chaque plat par un tableau numérique, et vice-versa. Un souci du détail qui va jusque dans le choix-même de la table, puisqu’elle a été conçue en bois de récupération par l’artiste (anciennement à la tête d’une menuiserie ébénisterie).

 

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Menu, table et lieu d'exception

Tenté(e) par l’expérience ? Après OPUS – Le Premier, le duo reviendra dès le 6 novembre avec un OPUS – Le Second, et un goût toujours plus prononcé pour l’exception.

On nous annonce que Julien Voarick a utilisé « des technologies de pointe pour surprendre les convives », et que le chef a sélectionné et « travaill[é] des ingrédients rares et des techniques innovantes pour atteindre une finesse gustative inégalée ».

Opus + julien voarick + dîners
© Æpycen Photographe / Document remis

À la carte : un menu en 7 actes et des accords mets et vins, mais ce n’est pas tout. Pour sublimer le dîner, OPUS réinstallera ses couverts dans un cadre exceptionnel : l’atelier de l’artiste, au cœur du cloître des Récollets à Saverne – une bâtisse monastique du 13e siècle.

Un écrin tout particulier pour ses projets puisque Julien Voarick y a également conçu en août dernier Furtif 3, un événement son et lumière en soirée.

Ouvert à la privatisation (pour les événements privés, et autres repas d’entreprises pour 10 à 20 personnes), OPUS – Le Second offre aussi la possibilité aux gastronomes individuel(le)s (d’une à 20 personnes) de rejoindre une « Table ouverte ». Un moyen original de rencontrer des inconnu(e)s autour de ce curieux menu : « Sous les images et les sonorités délicates, la table devient le théâtre de rencontres imprévues. »

À découvrir dès le 6 novembre, jusqu’au 28 décembre.

Opus + julien voarick + dîners
© Æpycen Photographe / Document remis

Événement

OPUS – Le Second

Quoi ?

Dîners expérience : repas gastronomique et arts numériques

Quand ?

À partir du 6 novembre, jusqu’au 28 décembre (pour des tables ouvertes les vendredis et samedis ; privatisations les mercredis et jeudis, ou sur certains créneaux tables ouvertes non remplis)

où ?

À l’Atelier O431, cloître des Récollets à Saverne, à 45 minutes de Strasbourg

Plus d'infos ?

Réservations :

  • Sur le site
  • À l’Office de tourisme du Pays de Saverne (uniquement pour une table ouverte)

Menu surprise [pour une option pescétarienne : se rapprocher de l’organisation, ndlr]

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Commentaires (2)

  1. Parce que les csp++ ne savent plus quoi faire de leur argent, et qu’ils ne peuvent évidemment pas payer plus d’impôts, ils s’inventent des “expériences”.
    Comme dans toute bonne dystopie qui se respecte.

    • A priori vous êtes pas capable de payer un artiste pour son travail. le CSP++ lui peut être et tant mieux je dois dire !! Comme ça l’artiste peut vivre . Ju

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