Jazz à la Petite France, c’est un festival au nom plutôt évocateur. Pendant 3 jours, du 14 au 16 juillet prochain, pas moins de 13 formations musicales aux sonorités jazz viendront se produire sur la Place Saint-Thomas, au beau milieu du quartier de la Petite France. Voici le programme.

C’est le retour du festival Jazz à La Petite France, un événement à prix libre qui met du baume au cœur et du bon son dans les esgourdes. Pour sa troisième édition, le festival proposera une jolie palette d’influences musicales, avec des artistes venus des 4 coins du globe.

Des musiques du monde, entre Strasbourg et l’Argentine, des sonorités vibrantes venues de Suisse, du Royaume-Uni, de Taïwan et de la Bulgarie, des voix, des percussions et des cuivres chantants : les musiques acoustiques et le jazz dans toute sa diversité seront représentés.

294577199_374486134814361_4384435203217606380_n — © Jazz à La Petite France

« Avec 14 nationalités et 10 pays représentés, vous pourrez découvrir de jeunes artistes aux multiples influences, riches de leurs voyages et de leurs migrations, porteurs et porteuses de promesses, d’espoirs et de nouveaux horizons, explique Séverine Cappiello, directrice artistique du festival, dans son texte de présentation. En ces temps de crises successives et d’urgences permanentes, l’espoir est essentiel pour dessiner un avenir désirable et retrouver un peu d’insouciance et de légèreté, telle une libellule en été. »

Bal Perdu, Las Baklavas, Naïssam Jalal, Jugend Jazz Orchestra, Abraham Réunion Feat Arnaud Dolmen, Subconscious Trio, Fuz 4tet, Los Negros Soundsystem, Emma Rawicz, Petite Lucette, Jas Kayzer : les groupes que vous retrouverez cette année seront aussi divers que variés, et la programmation s’annonce éclectique et pleine de jolies surprises !

Le festival Jazz à la Petite France nous promet donc des concerts, du soleil et des instruments qui vibrent. Mais c’est aussi un évènement qui s’engage pour une meilleure représentativité des femmes dans le monde de la musique : “Avec 45% de femmes sur scène (soit trois fois plus que la moyenne nationale dans notre secteur), nous continuons à œuvrer pour plus d’égalité, écrit Séverine Cappiello. Et cette année, pour la première fois, nous organisons des rencontres professionnelles européennes pour l’égalité de genre dans le secteur musical, pendant le festival, afin que cette dynamique perdure, se structure et s’étende à l’échelle européenne.”

Une initiative qui fait plaisir à voir.