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Strasbourg : le port du masque désormais obligatoire au centre ville et quai des Bateliers

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L’arrêté a été signé ce mercredi après-midi par Roland Ries : le port du masque est désormais obligatoire dans les zones les plus fréquentées de l’espace public strasbourgeois. Dans le viseur, la Grande île, les axes y menant ainsi que le quai des Bateliers entre 10h et 20h.

Suite aux premiers relâchements liés au déconfinement, le maire de Strasbourg, accompagné par des scientifiques et le conseil consultatif, ont pris cette décision unanimement. L’arrêté sera effectif dès demain, jeudi, et valable chaque jour entre 10h et 20h pour l’ensemble des rues mentionnées juste ici :

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Strasbourg : le port du masque désormais obligatoire au centre ville et quai des Bateliers

Commentaires (12)

  1. Du Roland Ries tout craché !
    Le beurre et l’argent du beurre. Aucune cohérence. Bières à emporter à tous les coins de rue, interdiction de la consommer et en prime renflouer les caisses avec des amendes.
    Il veut tellement faire plaisir à tout le monde, qu’il s’en fait détester.
    Vivement qu’il cède sa place ce naze.

  2. Bon ben ce n’est pas compliqué, je n’irai plus au centre ville. Tant pis il reste amazon qui rouvre en France dans les prochains jours…..

    • Juste parce qu’il faut y mettre un masque ? Looooool comme ci le carré d’or était remplaçable par Amazon 😂 devenir dépendant d’un groupe pareil sous prétexte qu’il faille mettre un masque quand on marche dans une rue fréquenter, j’trouve ça vraiment lourd👍🤣

    • Je te laisse les Zara, mc do et autres pièges à gogo du centre ville. Je ne m’intéresse qu’aux librairies et aux marchés…. je te laisse aussi le placebo en chiffon made in india sous 30 degrés que tu vas tripoter toute la journée pour ne pas etouffer. Pour le reste , apprends a dicerner les differents degres d’un message. Ca va t’aider.

    • messqge en trop, de toute évidence, comme il ne s’affichait pas, je pensais qu’il y avait eu un bug….. bon, le fond est le même.

    • Je te laisse les Zara, les Mac Do, les H&M et autre multinationales qui ont fleuris au centre ville, et qui soit dit en passant ne sont pas plus reluisantes qu’amazon… je te laisse aussi les bout de chiffons made in pakistan ou india qui ne sont que des placébos pour rassurer les naifs (nous avons passé deux mois sans masques au plus fort de la crise). Moi je ne viens au centre ville que pour les librairies et les marchés. Alors je trouverai mon bonheur ailleurs, c’est tout. Et je te conseille vivement d’apprendre à décripter les seconds degrés des messages et de refléchir à ce que tu écris avant d’insulter les autres , ca ne pourra te faire que du bien.

  3. Et après 20 H les beaux jours alors qu’il risque d’y avoir encore beaucoup de monde dans les rues……….
    De plus nous sommes le 21/5 et l’Eurometropole n’a pas réussi à pourvoir tous les habitants d’un masque (C’est mon cas)
    Imposer le masque dans ces conditions, désolant……

  4. Quand l’équipe municipale prendra-t-elle conscience que le centre ville n’est pas juste un truc à visiter ou un parc de loisir, mais qu’il y a ce qu’on appelle… des habitants…
    En clair, on ne peut plus sortir de chez sois faire quelques pas et RESPIRER un peu d’air frais…
    Je porte scrupuleusement le masque dans tous les espaces publics ou accueillant du public qui sont clos, super-marchés, commerces, transports en commun etc…
    Mais hors transports publics, le port du masque n’est pas obligatoire, or c’est bien dans les espaces clos que le risque est le plus élevé : commerçants ne portant pas de masque, clients de super-marchés ne portant pas de masques, dans les transports publics, des masques mis n’importe comment, semi-attachés et flottants, ou portés sous le nez. Jusqu’à un taxi que j’ai du prendre faute de tram après 22h, dont le chauffeur ne portait pas de masque et sans vitre de séparation ! Là, on est obligés de s’exposer. Si l’équipe municipale cherche des clusters ils sont là !
    Avant de nous coller encore plus d’interdit, et si l’équipe municipale faisait au moins son job et s’assurait à minima du bon fonctionnement et du respect des mesures de sécurité dans les transports publics. Les policiers municipaux sont missionnés pour faire de la pédagogie ? Qu’a cela ne tienne, il y a besoin de pédagogie dans les bus et tram pour expliquer aux gens comment mettre correctement leur masque.
    Par contre dehors sous les UV (et il y a tout de même des études qui montrent que les UV dégradent le virus), en plein air, interdit de s’aérer un peu les poumons en bas de chez sois !
    Je prends scrupuleusement garde à respecter les distances de sécurités dans la rue. Ne vais pas me poser sur les quais, comme le font beaucoup de riverains.
    Hier, je me promenais dans une rue très peu fréquentée avec mon ami, nous avons été rappelés à l’ordre par des policiers en voiture, à un endroit ou nous étions… strictement les seuls (et pour cause, nous cherchions à éviter la foule) : port du masque obligatoire.
    Je sors de la grande île pour respirer un peu, et là, sur les quais extérieurs, je constate quoi : une foule agglutinée sans masques… mais là, no problem, c’est pas la grande île … le monde à l’envers, la grande île s’est dépeuplée du coup les gens s’agglutinent sur le pourtour extérieur… Mais si l’on ne veut pas que les gens s’entassent, ce serait tout de même plus logique de les laisser respirer dans un maximum d’espaces extérieurs, non ?
    Je rentre dans un tabac, la vendeuse, pas de masque, les clients non plus. Mais no problem, là c’est pas obligatoire, le commerce avant tout…
    Ce qui justifie cette mesure absurde, ce sont les jeunes qui se posent au bord de l’eau sur les quais intérieurs, au passage ce que j’ai constaté hier, des petits groupes de 2/3 maxi, espacés d’au moins 5m… et là, les choses sont inchangées, pas de masques, et quelque part, je les comprends. Cela dit je doute que les clusters se forment là en plein soleil, et si on allait voir les lieux de travail où les salariés (en particulier ouvriers) bossent dans des conditions absolument insécures (non seulement s’agissant des risques de contagion, mais de tout le reste aussi ?). Mais admettons, si vraiment le problème est sur les quai, plutôt que de pourrir la vie à tous les habitants de la grande île, pourquoi ne pas simplement réglementer l’usage des quai (en dynamique déambulatoire, par exemple, sans y stationner) ? Mieux, pourquoi ne pas expliquer clairement comment se répartir dans l’espace public, comment y circuler. Par exemple, la municipalité trouve qu’il y a trop de monde sur les quai, c’est quoi “trop” dans une grande ville” ? Ce que j’ai vu hier est conforme aux directives, des groupes inférieurs à 10 personnes, plutôt 2 ou trois, des espacements de bien plus d’1m50 entre les groupes. Si cela ne va pas, quelle est la règle ? Quel espacement, se regrouper à combien de personnes, où, dans quelles conditions ??? Cette mesure me donne juste l’impression que la municipalité gère sa peur sans le moindre sens logique. Les gens sont adultes, que la municipalité explique clairement quelles sont selon elle les bonnes pratiques dans les espaces extérieur, plutôt que de pourrir la vie de tous les riverains de la grande île qui ne sont pour rien au problème des quais, en imposant le masque en plein air en bas de chez sois.
    J’ai eu une discussion avec les policiers municipaux : J’ai posé la question pourquoi ne pas commencer par faire respecter les règles déjà en vigueur, notamment les masques dans les transports publics. Il m’ont dit qu’ils veillaient aussi à cela. Je leur ai cité les nombreux cas ou dans les transports publics j’étais environnée de personnes ne portant pas le masque correctement (autant dire que c’est comme ne pas en porter, impossible de compter le nombre de masques flottants, sous le nez, tant il y en a). Ils m’ont répondu qu’ils ne pouvaient pas être partout. Et effectivement, je les comprend, s’ils sont mobilisés à aller pister des promeneurs isolés dans la grande île, comment trouver le temps de faire respecter les mesures dans les transports publics ?
    Autre chose : beaucoup de personnes finissent par porter le masque n’importe comment tout simplement parce qu’elles respirent mal, ont trop chaud. La plupart des personnes que je vois mal porter leurs masques, ont des masques en tissus double couche. S’est-on posé la question si c’était tenable dans la durée ? A-t-on fait des essais sérieux dans ce sens ?
    Enfin : un masque n’est efficace que lorsqu’il n’est pas humide. Si les riverains de la grande île doivent le porter dans la rue, en pleine chaleur avec la transpiration, ou sous la pluie qui les aura surpris, ils arrivent dans les transports publics avec des masques humides, et donc inefficaces, voire irrespirables dans le cas de masques en tissus dont l’eau bouche les mailles qui laissent un peu passer l’air, et là, avec une mesure qui prétend augmenter la sécurité, on augmente le risque. Dans les transports publics, dans les magasins, ce sera pire, encore plus de masques innéfficaces, encore moins de masques non-portés quand ce n’est pas obligatoire. Donc on va concentrer le risque dans les espaces clos, juste pour se rassurer de voir tout le monde masqué dans les espaces extérieurs du centre touristique ? Enfin, si l’on veut que les gens portent correctement leur masque dans les espaces publics clos, il faudrait peut-être aussi leur laisser la possibilité de respirer correctement sur leurs trajets avant de rentrer dans ces espaces clos, non ? Mais je conçois que des élus qui habitent maison avec jardins, circulent en voitures climatisées et sécurisées avec vitres, aient du mal à concevoir cela, qu’à un moment donné dans sa journée de travail, on ait besoin de respirer librement…

    Cet hiver, novembre / décembre, en plein marché de noël, où la municipalité nous impose chaque année une foule très denses de touristes en non stop pendant deux mois tout en nous privant de l’accès aux transports publics depuis 2 ans (ce qui n’a pas empêché une fusillade sous mes fenêtres…), j’ai chopé une très sale grippe qui a dégénéré en pneumopathie, avec tous les symptômes actuellement repérés comme typiquement Covid (perte de goût, urticaire, sur-réaction immunitaire etc…). J’ai du me traîner malade à pied au milieu de cette foule dense de touristes, pour me rendre chez le médecin plusieurs fois. J’ai du faire 45 mn à pied en pleine pneumopathie, dans la foule, en traversant les check point ou je devais ouvrir mon manteau, pour aller débloquer un bugg administratif à la sécu… pas le choix, je payais mes soins de ma poche et n’ai pas pu faire la radio des poumons requise. Je n’ose imaginer combien de personnes j’ai pu contaminer à ce moment là où l’on ne songeait pas à tout ça, mais où le commerce et la rentabilité font loi, mais aujourd’hui je ne peux pas sortir prendre l’air et respirer un peu librement en bas de chez moi …
    Les élus qui prennent ces décisions prennent-ils les transports en communs, se tapent-ils des journées de plus de 8h où le port du masque est obligatoire quasi non-stop, au boulot, dans les transports, et maintenant dans la rue en prime, savent-il combien cela devient difficile de respirer dans la durée, les vertiges à force de respirer son gaz carbonique, habitent-ils un appartement sans jardin ni balcon, connaissent-il la seule possibilité d’aller dans la rue pour aller prendre l’air ? Les jeunes qui se posent sur les quais vivent dans de minuscules piaules, à un moment donné, on ne peut pas éternellement leur imposer de vivre reclus dans leur cellule, s’ils ne doivent pas se concentrer sur les quai, qu’on leur propose d’autres espaces extérieur, plus étendus.
    Enfin, à force de focaliser sur le covid, on finit par en oublier les autres problèmes de santé. Les élus qui prennent ces décisions savent-ils ce que ça fait de devoir porter un masque quand on est en pleine crise d’asthme (et oui, on est en période d’allergies aux pollen, et c’est très virulent en ce moment) ? On suffoque, littéralement…
    Et pour finir, s’il y a une épidémie autrement plus inquiétante, ce sont les atteintes toujours croissantes aux libertés publiques. Pendant deux mois on s’est enfermés, par civisme, on s’est privés de nos proches, de nos ami.e.s, à mener des vies de zombie, on l’a fait, par sens des responsabilités, d’autres ont été obligés de sortir travailler, la peur au ventre, dans des conditions hyper-exposées… sans masques, puisqu’il n’y en avait pas, et qu’on nous a même prétendu dans un premier temps, au plus fort de la contagion, que cela ne servait à rien. Pendant ce temps là, on nous fait passer des lois qui achèvent le code du travail, pendant ce temps-là notre avenir professionnel, économique, s’effondre… Aujourd’hui, nous sommes en semi-liberté. Nous avons le droit de travailler, de consommer, mais avoir un peu de plaisir, c’est très limité. Voir un.e ami.e qui se trouve à distance et nécessite de prendre les transports en communs, c’est possible, mais dans des conditions hyper-stressante, mais hors heures de pointe (où là l’angoisse est à son paroxysme pour ceux qui sont obligés d’aller bosser à ces heures), et avant 22h, ce qui laisse les créneaux 9h30 16h (si on ne travaille pas) ou 19h30 22h pour aller visiter un.e ami.e… Là encore, si l’on veut moins de concentration dans les transports en communs, pourquoi restreindre les horaires ???… Et maintenant, l’on nous interdit même de respirer un peu librement à prendre l’air en bas de chez sois dans la grande île ? A force de coercition absurde, stupide, infantilisante, en contradiction totale avec l’incapacité de mettre en place les mesures minimales de prudence là où il y en a le plus besoin, tout ce que l’on obtiendra c’est que les gens respecteront de moins en moins les mesures, quitte à juste faire semblant (masques bidons, agglutinements dans les rares espaces laissés libres, etc…), voire une révolte de tous côté tant l’on sera excédé partout. Les terribles années sida nous l’avaient durement enseigné, on lutte contre une épidémie de maladie qu’on ne sait pas soigner avec une bonne politique de prévention : 1) dépistage massif, libre et anonyme (et non dépistage restreint aux seuls symptomatiques, avec intrusion choquante dans la vie privée et consultation surtaxée pour ceux/celles qui n’accèdent pas à leur droit à la sécu), 2) matériel de protection à profusion, gratuit ou très peu cher (le budget masque, que ce soit tissus ou chirurgical, quand on bosse à plein temps, avec des masques qu’on porte maxi 4h, moins quand on transpire ou qu’il pleut, c’est entre 40 et 60 € par mois, impossible pour beaucoup de foyer), 3) demander au gens des pratiques réalistes et tenables (le masque non-stop dès qu’on sort des chez sois, c’est pas tenable, ne vous étonnez pas s’il y a de plus en plus de non-respect des mesures), 4) les responsabiliser en les informant correctement, respectueusement, et de manière COHERENTE, mode de contamination, seuil de concentration limite dans un espace extérieurs : comment voulez-vous que des jeunes comprennent que c’est limite de se poser à 2/3 sur les quai, avec une espacement de 4/5m entre les groupe, quand par ailleurs la règle c’est 1m de distance et des rassemblement possibles jusqu’à 10 personnes en espaces extérieurs et illimités en espaces intérieurs privés. Plutôt que d’interdire et d’autoriser de manière illogique et contradictoire, plutôt expliquer clairement ce que sont les pratiques à risques, et comment limiter les risques. Plutôt que d’imposer aveuglément le port de n’importe quel masque, donner véritablement aux gens (quel que soit leur conditions économiques) la possibilité réelle d’accéder à des masque adaptés, où l’on peut à peu près respirer, surtout sur de longs moments (4h ou plus). Et by the way, qu’adviendra-t-il de tous les sdf qui se trouvent dans la grande île ? Les policiers vont-ils les verbaliser, eux qu’on a laissés hyper-exposés tout au long du confinement, auront-ils accès à des masques, et à la possibilité de les laver et de se laver pour les gestes barrières, s’occupe-t-on de les soigner s’ils sont malades (du covid ou d’autre chose d’ailleurs), veille-t-on à ce qu’ils aient la possibilité de se nourrir et de dormir correctement (parce que l’immunité, c’est aussi ça) ???… Les SDF sont très nombreux dans la grande île, pendant le confinement, ils étaient seuls dans la rue, on a pu réaliser leur nombre et leur dénuement, ils n’ont bénéficié d’aucune des mesures de protection, ils n’ont ni gel, ni masques, d’ailleurs même pas de quoi bouffer, même pas d’eau pendant le confinement… Bref, j’arrête là, mais je ne décolère pas…
    La plupart des gens n’ont

    • Je comprends votre colère, et vous avez très bien décrit la situation, avec un peu de logique on comprend très bien que les masques ne sont d’aucune protection dans la facon dont ils sont utilisés , seule la peur permet à ceux qui le porte de le supporter. Quand à ceux qui ne psychotent pas….. ….. bon courage ! En espérant que cette aberration cesse début juin!

  5. La plupart des gens n’ont pas envie de propager l’épidémie, qu’on cesse de les infantiliser, qu’on donne une information claire et cohérente, qu’on pose des mesures réalistes, tenables, et qu’on se donne les possibilités qu’elles soient réellement respectées, mais qu’on oublie pas que les gens ont aussi besoin de souffller un peu dans ce contexte pourri.

  6. j’ai vraiment un petit souci personnel avec les masques, je ne suis d’ailleurs pas seule dans ce cas, plusieurs professionnelles de santé aussi ! le port continu d’un masque m’est pénible, surtout quand il fait chaud, en plus buée sur les lunettes … et la gène respiratoire est réelle ! pour moi, l’usage obligatoire de masques respiratoires ne peut s’envisager vraiment que pour des utilisations ponctuelles de courte durée, pour les transports en commun, dans les magasins ou dans une salle d’attente, … : » La prévention des affections respiratoires » : http://www.officiel-prevention.com/protections-collectives-organisation-ergonomie/risque-chimique/detail_dossier_CHSCT.php?rub=38&ssrub=69&dossid=270

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