C’est le cauchemar de toutes les administrations et de tous les étudiants tentant d’échapper mentalement aux cours d’amphi : le réseau internet est coupé depuis ce matin au sein de l’Université de Strasbourg mais également au sein de celle de Haute Alsace. La Lorraine est également touchée.
On a connu des coups de la panne plus fun. C’est le journal La Croix qui a révélé l’info très tôt ce matin, bien avant que les élèves ne tentent de se connecter avec leurs ordinateurs. Pas d’accès aux moteurs de recherche, pas de possibilité de consulter les mails. Retour en des temps immémoriaux où Internet n’existait pas.
La cause ? Un incident sur le réseau Renater du Grand Est. A priori ultra sécurisé, ce puissant réseau est réservé aux établissements de l’enseignement supérieur. Toujours selon La Croix, il fonctionne par boucles, pour que facs et autres écoles ne doivent se passer de Web en cas de panne sur un des tronçons.
Le problème ? Deux coupures ont eu lieu sur les “autoroutes” de l’Internet qui relient Reims à Nancy et Besançon à Strasbourg. De quoi plonger l’enseignement supérieur du Grand Est dans un flou total. A voir ce qu’il en retournera demain…
Sortez des feuilles, prenez vos stylos, c’est l’heure de reprendre les cours à la main !
Accès des services rétabli depuis 21:30 … les enseignants ne pourront pas tester le retour aux crayons et feuilles de papier 🙂
Histoire d’avoir des nouvelles fraîche, voici le lien pour suivre l’état de Renater :
https://pasillo.renater.fr/weathermap/weathermap_metropole.html
Bonjour,
un petit mot destiné à l’auteur de l’article.
Je suis interloqué par ton titre “Rends internet”, qui paraît d’un égoïsme forcené et montre à mon avis un sens des privilèges mal placé de ta part.
En gros personne peut rendre internet car personne ne te l’a confisqué comme si tu étais un enfant de cinq ans qui a fait une bêtise. Et si quelqu’un te l’avais confisqué, je doute que tu puisses y faire grand chose avec ta mentalité de petit privilégié… Si tu veux faire de l’écriture ton métier, respecte-toi et par pitié fais attention à ce que tu écris. Tu veux être un vrai journaliste à la Beuve-Méry ou un con à la Pascal Praud? Les mots comptent toujours, à part quand tu t’en fous.