Ouvert en 2008 à Erstein, jouxtant le siège social de l’entreprise du même nom, le Musée Würth développe une programmation aussi riche que diverse depuis 15 ans.

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Spectacles de théâtre, de danse, d’humour ou concerts… Originalement placé au sein d’un musée d’art moderne et contemporain, son auditorium s’anime à chaque saison au rythme d’une belle programmation. Le plus ? Sa salle de 220 places offre des moments en toute intimité avec les artistes invité(e)s.

Pour rythmer cette rentrée 2024-25, on est allé(e)s piocher pour toi quelques idées :

De B.B Jacques à Alain Chamfort : chantée ou rappée, la poésie comme temps fort

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L’an passé, November Ultra avait rempli et conquis l’Auditorium pour lancer le début de saison.

Dès le 17 octobre, c’est Clara Ysé qui inaugurera celle-ci en nous enflammant de ses vers « Pyromanes ». « Chanson française, polyphonies épiques, fusion, la chanteuse avance, en équilibre, entre des mondes, au bord des mots, et les unit dans un spectacle puissant, envoûtant et généreux ».

Après la pop poétique, place au flow de B.B Jacques qui débarque à Erstein, déclamer sa « Poésie d’une Pulsion » (son album) et « NEW BLUES, OLD WINE ».

Après des dates complètes à La Cigale et L’Olympia, n’attend pas trop pour prendre ta place pour le 7 février.

Et parce que le Musée Würth n’a pas peur des grands écarts… Après la révélation rap, place à une pointure de notre répertoire : Alain Chamfort.

Comme un au revoir, il livrera « L’impermance », son dernier album : le « point d’orgue à une carrière discographique démarrée il y a un peu plus de 50 ans ». Une œuvre qualifiée de « majeure, profonde, poignante ».

Et qu’entendra-t-on le 4 avril ? Ses dernières compositions, évidemment. Mais pour ravir les fans : « des pépites moins connues des précédents albums, sans oublier quelques incontournables, revisités dans de nouveaux arrangements ».

Et pour conclure la saison ? Du jazz le 16 mai, avec la chanteuse sud-coréenne Youn Sun Nah, qui rendra elle « hommage aux voix de femmes, [et à] des chanteuses qui ont marqué son itinéraire » dans Elles, son album enregistré avec le pianiste-claviériste américain Jon Cowherd. Un moment qui s’annonce tout en douceur, avec une voix pleine de surprises et facettes.

Mais on pourrait aussi te parler d’Ycare, des différents concerts au piano ou ensemble pour les plus mélomanes (avec Bruno Rigutto, ou Adam Laloum et Mi-Sa Yang, le Trio Zerline à la flûte, alto et harpe, et bien d’autres)…

En bref : une jolie variété de concerts pour autant séduire que transcender les générations et les sensibilités.

Humour : de belles têtes d'affiche

Après la musique, place à l’humour. Et c’est avec « Panache » qu’Alex Ramires débarquera (et défilera) au Musée Würth le 1er décembre.

Chouchou des internets avec ses sketchs (dont les incroyables Lookbooks, des reviews fashion sur Tom-Tom et Nana, à Dora ou Sacha de Pokémon), il présentera ici un spectacle sur « la confiance ou faire semblant d’en avoir ;  parce que le doute c’est comme la mode, ça revient toujours ».

Sa franchise fait mouche sur les réseaux : l’humoriste Elena Nagapetyan viendra elle, le 18 janvier nous dire si « Ça valait le coup ».

Un spectacle qui nous raconte comment « sur le chemin du succès, elle s’occupe à mi-temps d’un mini-coloc en garde partagée », un récit – sans trop de filtres – de « ses aventures de mère presque parfaite ».

Et on t’aurait bien parlé aussi de La Porte à côté… Mais le duo Michèle Laroque et Grégoire Bonnet affiche déjà complet, en 24h d’ouverture de la billetterie. Car avec son auditorium de 220 places assises, les places partent vite. Alors réserve sans plus tarder pour ne rien rater ! Et pour retrouver toute la programmation, c’est ici. 

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