Entrepreneur influent, businessman avisé, noctambule invétéré et éternel ambitieux en quête de nouveaux projets, Franck Meunier, gérant du groupe de bars et restaurants FHB, vient d’ajouter une étiquette à son nom : celle d’auteur. Avec son 1er livre, « Ma Ville, mon oeuvre, mes rues », auto-édité et disponible en librairie à partir du 10 avril.
« Une biographie non romancée pour trier le vrai du faux à mon propos »
Rares sont les entrepreneurs au nom connu de tous. C’est avec le recul d’une carrière déjà bien remplie, que F. Meunier s’est dit qu’il était temps de parler de lui, moins en rumeur et plus en profondeur. Son enfance, les premières découvertes de son adolescence qui allaient forger ses envies d’adulte, le difficile équilibre entre une vie publique au rythme des polémiques et une vie privée en quête de stabilité. Son regard sur Strasbourg aussi, une ville qui lui a offert le terreau fertile nécessaire à sa réussite, une ville qui est devenue par la force des choses son centre de gravité.
Extrait du premier chapitre
« Si je suis totalement honnête, je crois que mon désir d’entreprendre et posséder remonte à mes 11 ans. Attention, il n’est pas ici question de possession territorialiste et accumulatrice. Je suis intimement persuadé que la liberté de création que je chéris tant ne peut que passer par la disparition des obstacles qui la contraindrait : un propriétaire à séduire, une rente à fournir, un cadre à respecter.
Dès mes 11 ans, enfermé dans un cadre scolaire rigide, je ne trouvais pas ma place au collège. Naïvement et très spontanément, armé de mon sac à dos rempli de cahier, je suis allé voir la banque la plus proche pour leur demander s’ils me prêteraient l’argent nécessaire à racheter mon école. Cette expérience, qui ne donna bien évidemment aucune suite, me fit découvrir quelque chose qui fut l’amorce de ma vie professionnelle : j’avais surpris des gens qui pensaient ne plus être surpris. Je devais en faire ma force, la nourrir et la crédibiliser. Les années qui ont suivi m’ont offert l’occasion de le faire. »
C quoi cette merde c padrol
Il y a fautes de grammaire dans l’article.
poisson d’avril?