Strasbourg : les invisibles de la ligne 14
À l’arrière du bus 14, le matin schizophrène se prend pour Poséidon, secouant les passagers à moitié endormis...
Strasbourg : la biscotte du dimanche soir
Avant, le dimanche, je faisais la grasse matinée jusqu'à dix heures. Mais ça c'était avant. La trentaine passée, je me lève lorsque...
Strasbourg : les tortues du diable
Lundi, 7h30 heures. Une nouvelle semaine commence alors que la dernière n'est pas vraiment terminée. L'immeuble est silencieux mais dans notre appartement...
Strasbourg : le fabuleux confinement d’Amélie Câlin
À nos bars, ces poésies urbaines que nous ne pouvons plus lire.
Au soir d'une scintillante presque dernière...
Strasbourg : L’écume des corps
Elle a laissé la porte ouverte pour m'inviter à entrer dans une chambre anonyme d'un hôtel, Place de la gare. Je peux...
Strasbourg : en 2021, je veux du soleil
Le compte à rebours ne tarda pas à commencer. Jeudi 31 décembre 2020. Il était 23 h 59 et une poussière de...
Strasbourg : la plume de minuit
Chaque chose a une fin sauf la banane qui en a deux.
Mon ami médecin s’est fait contrôler par...
Strasbourg : un cœur de pixels
Depuis le 31 mars, il m’est à nouveau impossible de circuler à plus de dix kilomètres de mon domicile strasbourgeois et de...
Strasbourg : Le Seigneur des Agneaux
On squatte ces marches depuis une éternité. J'en arrive parfois à me demander si nous ne sommes pas les figurants d'un film d’Harold Ramis....
Strasbourg : Journal d’un confiné
Après avoir perdu six fois au Monopoly en trois jours, je suis un peu tendu, c’est vrai. Impossible d’acheter cette saloperie de...
Strasbourg : La mouche et l’enfant sparadrap
Photo de couverture : Thomas Cytrynowicz et Simon Wohlfahrt
« Il y a...
Strasbourg : la flèche amère de Cupidon
Brian, c’est le prénom que m’ont donné mes parents suite à l’obsession de mon père pour le film des Monty Python «...
Strasbourg : le parfum des choses
Je me demande ce qui détermine l’instant. Par quel enchaînement me suis-je retrouvé là au lieu d’être là-bas. Qu’est-ce qui fait qu’en...
Strasbourg : Silence, on meurt.
À ma sœur, à tous les soignants, toutes les soignantes et aux patient(e)s qui meurent dans l’anonymat.
Ma...